Les Ping-panthères ont profité d'un désistement pour accéder à la prénationale en 2014-2015. - (Photo club) |
Deuxièmes de la seconde phase, les filles de l'entente
Saint-Sulpice/Villerbon ont profité du désistement de Vierzon/Bourges et
débuteront la saison en prénationale.
Si les deux entités de Saint-Sulpice et Villerbon ont toujours fait route à part, ces deux clubs ont eu la bonne idée de faire cause commune avec leur section filles. C'était il y a trois ans afin de donner aux quelques licenciées, l'occasion d'évoluer à un niveau intéressant, ce qui n'aurait pas été possible si ce joli monde était resté chacun dans son petit coin.
Les bonnes relations entre Étienne Sollier, alors à la tête alors de Villerbon et les dirigeants sulpiciens ont fait le reste. Mais avant que cette action soit d'actualité, Saint-Sulpice, à ces premiers balbutiements en 1977, à l'initiative de Gorges Declerck, comptait seulement cinq licenciés, tous adultes. A cette période, faute de salle, on jouait même dans la cantine scolaire sur une seule table prêtée par le comité départemental.
Il fallait attendre près de cinq ans pour que la salle voie le jour près du gymnase et que les effectifs de la section montent à une vingtaine de pratiquants pour atteindre en 2012-2013 les quarante-huit licenciés dont la moitié a moins de 18 ans.
Quatre équipes adultes garçons, dont une évoluant en excellence et les trois autres en départemental plus deux formations jeunes, une en moins de 11 ans garçons, championne départementale l'an passé ; et l'autre avec les moins de 13 ans filles, vice-championne avec un effectif de sept joueuses où les rotations ont été de mise toute la saison ; et bien sûr l'équipe filles évoluant en R1 sous l'entité entente Saint-Sulpice/Villerbon. « Après deux saisons chez les moins de 13 ans, dans le championnat garçons ont s'est aperçu avec Francine Lung-Hoï qui dirigeait les filles Villerbon, que Axelle Payneau de Saint-Sulpice et Tiphany Lemay et Elodie Bermon de Villerbon avaient le niveau, prévient l'entraîneur local Laurent Trioreau, également vice-président de la section. Mais pour jouer en régional, il fallait que nous ayons quatre joueuses de bon niveau. On en avait trois. Les arrivées l'an passé de Romane Thauvin et Émilie Hamet, chez nous et de Rachel Lemay pour Villerbon ont donc changé la donne. Un turnover a été instauré pour que toutes ces très jeunes filles puissent s'aguerrir. En première phase, face à des formations qui comptaient de très nombreuses seniors, nous avons pris la quatrième place et la seconde lors de la seconde. »
Vierzon/Bourges, qui avait terminé premier à l'issue de ce championnat ayant refusé l'accession, l'entente loir-et-chérienne, répondant au doux nom des Ping-panthères, leur mascotte depuis maintenant trois ans, allait sauter sur l'occasion et accéder à la prénationale. Une grande première pour ces deux clubs qui ont eu l'intelligence de fusionner. L'objectif sera bien sûr de se maintenir, même si ce sera dur.
Si les deux entités de Saint-Sulpice et Villerbon ont toujours fait route à part, ces deux clubs ont eu la bonne idée de faire cause commune avec leur section filles. C'était il y a trois ans afin de donner aux quelques licenciées, l'occasion d'évoluer à un niveau intéressant, ce qui n'aurait pas été possible si ce joli monde était resté chacun dans son petit coin.
Les bonnes relations entre Étienne Sollier, alors à la tête alors de Villerbon et les dirigeants sulpiciens ont fait le reste. Mais avant que cette action soit d'actualité, Saint-Sulpice, à ces premiers balbutiements en 1977, à l'initiative de Gorges Declerck, comptait seulement cinq licenciés, tous adultes. A cette période, faute de salle, on jouait même dans la cantine scolaire sur une seule table prêtée par le comité départemental.
Il fallait attendre près de cinq ans pour que la salle voie le jour près du gymnase et que les effectifs de la section montent à une vingtaine de pratiquants pour atteindre en 2012-2013 les quarante-huit licenciés dont la moitié a moins de 18 ans.
Quatre équipes adultes garçons, dont une évoluant en excellence et les trois autres en départemental plus deux formations jeunes, une en moins de 11 ans garçons, championne départementale l'an passé ; et l'autre avec les moins de 13 ans filles, vice-championne avec un effectif de sept joueuses où les rotations ont été de mise toute la saison ; et bien sûr l'équipe filles évoluant en R1 sous l'entité entente Saint-Sulpice/Villerbon. « Après deux saisons chez les moins de 13 ans, dans le championnat garçons ont s'est aperçu avec Francine Lung-Hoï qui dirigeait les filles Villerbon, que Axelle Payneau de Saint-Sulpice et Tiphany Lemay et Elodie Bermon de Villerbon avaient le niveau, prévient l'entraîneur local Laurent Trioreau, également vice-président de la section. Mais pour jouer en régional, il fallait que nous ayons quatre joueuses de bon niveau. On en avait trois. Les arrivées l'an passé de Romane Thauvin et Émilie Hamet, chez nous et de Rachel Lemay pour Villerbon ont donc changé la donne. Un turnover a été instauré pour que toutes ces très jeunes filles puissent s'aguerrir. En première phase, face à des formations qui comptaient de très nombreuses seniors, nous avons pris la quatrième place et la seconde lors de la seconde. »
Vierzon/Bourges, qui avait terminé premier à l'issue de ce championnat ayant refusé l'accession, l'entente loir-et-chérienne, répondant au doux nom des Ping-panthères, leur mascotte depuis maintenant trois ans, allait sauter sur l'occasion et accéder à la prénationale. Une grande première pour ces deux clubs qui ont eu l'intelligence de fusionner. L'objectif sera bien sûr de se maintenir, même si ce sera dur.